Procès fictif pénal : La recherche dans un monde en transition, projection 2050
L’équipe Just’Act participait à l’événement Bascules et vous a offert un procès fictif plutôt surprenant. Entre tentative de meurtre de la planète Terre et violations des réglementations en vigueur, l’amphithéâtre Gintrac du campus Victoire nous a ouvert ses portes pour un procès pénal futuriste.
« Faut-il protéger de façon absolue notre planète au détriment de la recherche scientifique ? »
Notre procès fictif s’est ouvert par des émeutes violentes entre les manifestants pro-écologiques et les chercheurs pro-recherche. Lorsque le président de l’audience est venu calmé la situation houleuse, l’ensemble des participants se sont dirigés au sein de l’amphithéâtre Gintrac.
L’accusé, M. El Harouchi, jeune chercheur ayant produit une recherche sans autorisation gouvernementale et scientifique, a répondu aux questions du juge sans aucune once d’arrogance.
Par la suite, les témoignage d’une experte de la recherche et d’une activiste écologique ont permis de structurer le procès autour de la question fatidique : faut-il interdire la recherche au profit de la survie de la Terre ?
Chloé, en tant que Procureur de la République, s’est offusqué quant à la négligence du jeune chercheur en requérant des peines lourdes et sévères.
La Terre, grande victime de ce procès s’est vue parfaitement représentée par l’avocat de la partie civile. Quant à la défense : une plaidoirie de clôture digne de ce nom, laissant place à un suspense palpable.